L'entrée dans une conte d'enfance est, pour moi, une promenade qui me desserre le coeur après que j'ai quitté la cohue céphaleuse des personnes sérieuses et tellement trop écou(r)tées et qui n'ont jamais, sur eux-mêmes, ce grand rire d'aération qui protège de l'arrogance, l'élastique ghetto du mastiqueur de mythes.
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